Nous aimons tout particulièrement cette fête pour trois raisons : elle est issue d’une fête traditionnelle qui a su renouveler son format au fil des ans grâce aux technologies nouvelles de la lumière; elle innove en faisant systématiquement appel à de nouveaux projets de créateurs (art, vidéo, design,spectacle, numérique…) et, comme si tout cela n’était pas encore assez difficile, toute la fête est organisée pour que les « talents locaux » – artistes, scientifiques,entreprises..- en profitent et se rencontrent . Quelle est la fréquentation? Entre trois et quatre millions de visiteurs uniques, annonce la Ville de Lyon chaque année, et « au moins 2 millions » disent les sceptiques qui contestent ces chiffres , difficiles à vérifier, il est vrai, dans une immense fête populaire qui envahit toute la ville chaque année. Deux millions de visiteurs touristiques, de toute façon, cela fait déjà beaucoup en trois jours! Habitants et touristes réconciliés lors de la Fête? C’est possible!
Quel « back office » pour ce beau résultat? Combien cela coûte-t-il , pour quelles retombées économiques sur le territoire? Voilà quelques réponses sur la « fabrication » de cette Fête des Lumières, l’une des plus belles que nous ayons en France et la première du monde dans sa thématique. La preuve? les autres pays font appel, nous le verrons, à ses savoir-faire. Jetez plutôt un coup d’oeil si vous ne me croyez pas sur parole:
Fête des Lumières 2013 Timelapse from Armen Hambardzumian on Vimeo..Time-lapse a été filmé entre le 4 et le 9 décembre 2013à Lyon.Musique : « Fly » by Ludovico Einaudi – Diffusion de cette vidéo sur Vimeo ici – Voir aussi les teasers de l’ édition 2014 pour la communication de l’événement dès fin août dernier : le teaser #01 , le Teaser 02 , par exemple, excellents!
I- UNE VOLONTÉ POLITIQUE
En France, tout commence par une volonté politique, alors laissons la parole au maire de Lyon, Gérard Collomb, l’un des plus inventifs de notre pays:
« Voici plusieurs années déjà que nous avons choisi de faire de Lyon une métropole de l’innovation. L’enjeu est à la fois de rester compétitifs dans une économie mondialisée et d’être en mesure de relever les défis de notre temps.
Véritable laboratoire de la créativité, la Fête des Lumières s’inscrit dans cette démarche.
Vitrine de l’excellence technique de la filière Lumière, terrain d’expérimentation dans le domaine du numérique et du développement durable, modèle économique original avec son financement partagé entre le public et le privé, l’événement est aujourd’hui encore précurseur grâce à une approche inédite de la valorisation de nos savoir-faire. »Compte tenu du rayonnement de la Fête des Lumières dans le monde et des sollicitations, nombreuses, dont nos services font l’objet, nous avons élaboré une solution juridique innovante leur permettant de facturer leurs prestations en termes d’assistance à maîtrise
d’ouvrage dans l’organisation d’événements Lumière. Conçu aujourd’hui dans le secteur Lumière, ce modèle pourra aussi valoir demain pour d’autres domaines d’expertise de notre collectivité » dit en introduction Gérard Collomb, Sénateur-Maire de Lyon dans le Dossier économique de la Fête des Lumières 2014.(Références du Dossier ci-dessous).
II – L’ORGANISATION
La Fête des Lumières, est organisée en régie directe par la Direction des événements et de l’Animation de la Ville de Lyon, le but étant de profiter de la richesse des compétences des autres services de la collectivité (Direction de l’éclairage public, Direction logistique et festivité, services de sécurité et de prévention, Direction des espaces verts, services ressources en administration et communication…), de minimiser le coût de cet événement pour les contribuables lyonnais et de maximiser ses retombées pour les différents acteurs économiques locaux.
III – UN FINANCEMENT PUBLIC PRIVÉ UNIQUE, QUI PROFITE AU TISSU ECONOMIQUE LYONNAIS
Budget de la Fête des Lumières : 2,6 millions d’euros dont 50 % de financements privés.Soit, par parenthèse, la moitié du budget du festival Interceltique Lorient (Budget : 5 millions d’euros).
LES MÉCÈNES de la Fête : réunis au sein du Club des partenaires de la Fête des Lumières, des mécènes financent aujourd’hui l’événement à hauteur d’un peu plus de 50 %.
Leur engagement se concrétise sous 3 formes possibles :
- un don numéraire
- un apport en compétences ou en matériel
- le financement d’une oeuvre intégrée à la programmation officielle
· Le Club de mécènes comptait l’an dernier 69 partenaires privés ou institutionnels (soit 11 de plus qu’en 2012)
· +50 % du financement de la Fête des Lumières;
· 40 % participent financièrement;
· 29 % des partenaires fournissent du matériel ou des compétences;
· 26 % offrent des projets artistiques associés à l’événement.
– Cette année de nouveaux mécènes ont rejoint ce Club : Assystem, BNP Parisbas, CMS Francis Lefèvre, GFC Construction, Micropole, My Lucky Day, Nexity, Sogelym Dixence, VLS, Fondation BTP Rhône.
IV- DES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES
1- Une fréquentation touristique en hausse
· Au cours de l’édition 2013 de la Fête des Lumières, 59 200 personnes ont été accueillies par Lyon Tourisme et Congrès Place Bellecour, soit 28 % de plus qu’en 2012. Parmi eux, 1 visiteur sur 2 était étranger.
· 500 cars de tourisme ont été comptabilisés lors de cette édition.
· Le trafic des TGV et OUIGO a augmenté lors des 4 jours, avec 16 500 voyages de plus que lors d’un week-end normal.
· La fréquentation des transports en commun a connu une hausse de 15 % par rapport à la Fête des Lumières 2012.
– Enfin la Fête des lumières a un fort impact pour les commerces et les restaurants du centre-ville: les bars et restaurants de la Presqu’Ile multiplient leur chiffre d’affaires par 4 par rapport au reste de l’année.Par exemple, le 8 décembre 2012 reste à ce jour la plus grosse journée de fréquentation de l’histoire du centre commercial de la Part-Dieu depuis 40 ans, avec 183 462 visiteurs enregistrés dans la journée et près de 900 000 visiteurs dans la même semaine. La clientèle additionnelle liée au tourisme pendant la Fête des Lumières est estimée entre 8 % et 10 %.(Photo : le Musée des Confluences qui ouvrira en décembre prochain(Maquette).
2- HÔTELLERIE : des indicateurs en progression pour l’hôtellerie en 2013:
· Le nombre de nuitées vendues via la centrale de réservation de Lyon Tourisme et Congrès a augmenté de 12,5 % par rapport à 2012.
· Selon les données collectées quotidiennement par MKG Hospitality, pour le compte de la CCI de Lyon et du Grand Lyon, le revenu par chambre (RevPAR) des établissements lyonnais a progressé de 6,1 % en comparaison de l’édition précédente.
· Le taux d’occupation des hôtels de l’agglomération se situait au-delà de 83 % pendant la Fête des Lumières 2013, soit 3,9 % de plus qu’en 2012, sachant que ce taux s’élève en moyenne à 64,2 % sur l’année.
V- UNE IMAGE POSITIVE ET UN FACTEUR ATTRACTIVITÉ AU DELÀ DE LA FÊTE
Une enquête révèle que 94 % des visiteurs souhaitent participer à une nouvelle édition de la Fête des Lumières. 84 % des non-lyonnais affirment que cet événement les incite à revenir à Lyon pour une autre occasion.
VI- LES INNOVATIONS 2014: sciences, export des savoir-faire, arts et numérique
1) Sciences la Ville de Lyon s’est entourée comme chaque année de spécialistes en électricité et en lumière pour rester à la pointe de la technologie.Avec Deux partenaires fondateurs, EDF et le Mat’Electrique, qui pilotent les nouvelles propositions (éclairage et lumière) comme l’oeuvre de Digiplay, sur la Fontaine des Jacobins(Voir le programme sur le site Internet de la Fête de la Lumière ci-dessous).
2) Quand une Ville devient « prestataire de services « pour d’autres villes du monde! L’exemplarité de la Fête des Lumières a généré des sollicitations de plus en plus nombreuses de la part de villes et d’entreprises privées en France et à l’étranger, désireuses d’acheter le savoir-faire de la Ville de Lyon dans l’organisation de festivals-Lumière, notamment dans les phases de préparation
de la manifestation (cahier des charges, étude de faisabilité…) ainsi que la consultation et la sélection des équipes artistiques. Elles peuvent aussi requérir son expertise en matière de sécurité publique, gestion des flux, mobilisation et accompagnements de tous les secteurs, communication et information au public, financement …
De fait, la Ville de Lyon est intervenue ces dernières années de façon gracieuse dans le cadre de coopérations internationales, avec notamment, les villes de Riga, Leipzig, Birmingham… Désormais, les demandes d’AMO s’accompagnent de propositions de rémunération en fonction de la taille de l’événement à construire et des missions à prendre en charge et de l’acteur qui le porte.
3) L’art : 70 oeuvres réparties seront dans toute la ville cette année! Voir le site Internet et aussi nos photos d’expériences intéressantes en fin de billet . La Fête des Lumières s’attache surtout à révéler chaque année de nouveaux artistes : ainsi, pour cette édition 2014, 70 % des propositions présentées dans les arrondissements émanent de créateurs participant pour la première fois à la Fête des Lumières. Un laboratoire de mise en pratique pour les étudiants a aussi vu le jour : plusieurs écoles de la région lyonnaise dans les domaines des arts décoratifs, de l’architecture, du design ou de l’image animée, incitent leurs étudiants à participer aux différents appels à projets qui leur sont destinés, tandis que d’autres intègrent la Fête des Lumières au cœur de leur projet pédagogique, faisant de l’événement le terrain de mise en application des méthodologies et savoir-faire acquis par les étudiants au cours de leur cursus.(Photo Théâtre de Lyon, Fayolle/Sipa)
4)Le Durable, avec le Trophée Récyclum des Lumières durables auquel vous pouvez participer : les internautes sont invités à élire l’oeuvre durable la plus esthétique jusqu’au 8 décembre 2014 sur www.fetedeslumieres.lyon.fr et 3 « voyages nature » sont à gagner.
5) Le Numérique : pour cette édition 2014, le site web de la Fête des Lumières a été totalement repensé pour vivre la Fête au plus près , pour le public comme pour les artistes. La société Micropole a réalisé la refonte du site Internet au titre du mécénat de compétence.Parmi les nouvelles fonctionnalités, signalons l’intégration de nombreux modules externes (réseaux sociaux, photos, vidéos, cartographie, transport…), une meilleure articulation des versions anglais/français, la mise en place du Responsive Design (l’écran s’adapte à la dimension du terminal utilisé). La navigation est donc facilitée, tout en permettant davantage de participation des internautes.
– BIG DATA et Orange Labs : l’opérateur des télécom s’est ainsi rapproché du laboratoire de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs (EnsadLab), qui conduit des recherches portant à la fois sur la traduction esthétique des données numériques et l’analyse sociologique de leurs usages. Orange et l’ENSAD ont choisi la Fête des Lumières de Lyon, un événement de grande envergure qui s’inscrit dans une véritable unité de temps et de lieu, pour proposer de restituer, à travers la masse des données numériques échangées –celles-ci étant naturellement entièrement anonymes-, l’intensité de ce que vit la population en fête. Produit sous la direction de l’artiste et enseignant-chercheur Samuel Bianchini avec des étudiants chercheurs de l’ENSAD et des ingénieurs des Orange Labs, ce projet propose au public d’envoyer des SMS qui seront convertis, via une application dédiée, en langue morse.
Ces signaux lumineux seront diffusés depuis le sommet de la Croix-Rousse et traduiront en lumière la formation d’une immense communauté éphémère au sein de la Fête. L’oeuvre intègre également une cartographie poétique de l’activité des téléphones mobiles.
Ce projet, porté par Orange au niveau national, s’inscrit dans un partenariat plus global noué au plan local depuis plusieurs années sur l’accompagnement numérique (site web, application mobile, QR codes, téléphones) de la Fête des Lumières. Notre avis : avec ces stratégies d’utilisation des big data, la Fête des Lumière de Lyon marcherait-elle dans les pas de la Fête de la Mercè, à Barcelone (Microsoft), notre « chouchoute » dans ce petit blog?
– Application smartphone Cette année encore, une application (Android / iOS) permet aux mobinautes de mieux profiter de la Fête : accéder à l’ensemble de la programmation et consultez les animations autour de vous, par liste, par carte ou par réalité-augmentée; Partager leurs coups de cœur; Choisir un parcours thématique
Et réseaux sociaux Toutes les infos sur Twitter : #FDL2014; https://twitter.com/fetelumieres @FeteLumieres; Facebook : https://www.facebook.com/fetedeslumieres
EN CONCLUSION : Lyon est une grande ville pour la visite culturelle, bien évidemment : le bâti de sa ville, ses musées,monuments, la richesse de son passé, l’excellence de son architecture récente, la meilleure Biennale d’art contemporain, d’excellents directeurs de musées et ce Festival des Lumières…Les témoignages de l’imprégnation culturelle sont innombrables. L’ingéniérie touristique de Lyon est sans doute l’une des trois meilleure en France (Only Lyon, Passage pionnier au numérique, Marketing territorial, Accueil (pionnier, lui aussi) des Pays émergents dont la Chine...). Mais Culture et Tourisme accompagnent une transformation de la ville, depuis une douzaine d’années, transformation non seulement « pionnière », mais si vaste qu’elle ne s’est pas reproduite ailleurs en France avec une telle amplitude . Car le développement de Lyon passe par l’urbanisme et de multiples réformes structurelles : la réorganisation du centre-ville,la construction de quartiers périphériques et du quartier des Confluences (le nouveau musée ouvre fin décembre), le réaménagement des rives de Saône, la création du Grand Lyon, le projet Lyon-Turin et aujourd’hui la fusion entre Lyon et le département du Rhône, décidée bien avant que ne soit « pensée » la nouvelle réforme territoriale du Gouvernement. Toutes ces réalisations et projets semblent assez incroyables, surtout si on compare cet ensemble d’innovations « tous azimuts » avec ce qu’ont fait, dans le même durée, d’autres villes en France.Et se faire remarquer pour sa Fête de la Lumière par les grands pays émergents est aussi réjouissant : la Ville de Lyon pourra vendre son savoir-faire en termes d’organisation et miux protéger son propre modèle .Cela va ainsi permettre à la Ville de Lyon de faire connaître et reconnaître son expertise en termes d’événements-lumière et de valoriser son image et sa notoriété au niveau international puisque ces derniers mois, cette reconnaissance de « savoir-faire » a été concrétisée à 4 reprises, avec pour illustration la plus emblématique, l’accompagnement du groupe EMAAR pour l’organisation du Festival of Light de Dubaï en mars 2014 (Notre photo).
POUR EN SAVOIR PLUS / N’hésitez pas à demander les deux dossiers de Presse de la Fête des Lumières (Dossier général et Dossier Economique utilisés pour rédiger ce billet) aux deux Contacts presse de l’ Agence Géraldine Musnier pour la Ville de Lyon:
Amélie Chabuet : amelie@agencegeraldinemusnier.com – 04 78 91 12 38 / 06 43 95 01 16
Julia Blondeau : julia@agencegeraldinemusnier.com – 04 78 91 06 06 / 06 78 87 02 51
Et merci, chère Julia, pour l’envoi si rapide de vos photos et de votre accueil parfait pour toutes mes demandes!
KEN LE TOURISTE PARFAIT Après huit jours de voyages d’affaire, de palaces, d ‘avions dans sept pays du monde, comment Ken pouvait-il dissuader son ex, Barbie, d’aller à la Fête des Lumières de Lyon en France? Elle voulait partir avec sa copine Brayana qui avait des ancêtres français, Louis et Auguste Lumière, et partait à la recherche de ses origines…Comment expliquer à Barbie Chérie et à sa copine Brayana qu’il y avait deux fêtes,à Lyon, l’ une des Lumières et l’autre pour le Cinéma ?
PHOTOS de ce qui vous attend aussi à la Fête des Lumières la semaine prochaine!
1- Studio Théoriz qui participé à la Fête des Lumières de Lyon en 2013 dans le cadre du projet « Dessine-moi des Lumières » projeté sur le Mur des Lyonnais, à la 1ère édition du Dubaï Light Festival en mars 2014, aux festivals lumière de Chartres et de Jérusalem, ainsi qu’à la Biennale d’Art contemporain de Lyon en 2013.
« Voyage cinématographique » (Notre photo). Lieu : Voûtes sous Perrache (Lyon 2ème)Le temps d’une traversée, le spectateur embarquera pour un grand voyage racontant l’histoire de l’image animée, depuis les films des frères Lumière, jusqu’aux techniques cinématographiques du futur. Guidé par le cheminement d’un personnage imaginaire, ce parcours onirique et immersif, dans un décor évoquant la fin du XIXème siècle, sera jalonné de nombreux extraits de films illustrant les époques et les genres qui ont marqué l’aventure du cinéma.
Production – Studio Théoriz;Réalisations d’images – Studio BK (Etienne Guiol);Direction artistique et vidéomapping – Studio Théoriz (Jonathan Richer, Simon Pierrat, David Chanel)
Composition musicale et sound design– Flavie Taulelle.
2- Paysage intérieur
Projet réalisé par Agathe Perrin et Patrick Lathoz Ecole de Condé.Cette installation située sur la façade de l’Etablissement Français du Sang interpellera les spectateurs par des signes sensoriels qui fonctionnent sur le mouvement, la couleur, les textures, des images abstraites qui évoquent de manière subconsciente tout le mécanisme cellulaire. Le don du sang étant un don de vie, il est important de lui conférer une image qui le dédramatise et le rend ludique.
3- Marion Chauvin et Adrien Bertrand, »Palm Beach » – Cours Charlemagne (Lyon 2ème)
Cette artère, jalonnée d’insolites palmiers réalisés avec des goulettes de chantier et des toiles de spi, se donnera chaque soir des airs de Riviera. En se promenant sous ces grands arbres aux teintes vives, les passants se sentiront irrésistiblement attirés par les lumières et les couleurs du Sud.
4 – Erick Barray : l’artiste s’est entouré de coéquipiers, Manu Théry, pour la lumière, et Richard Le Guezennec, graphiste, pour donner vie à ses projets à partir d’une maquette.
Présent lors de l’édition 2013 de la Fête des Lumière sur les berges du Rhône avec Nid’lum, Erik Barray revient cette année sur les bords du fleuve entre le pont Morand et le Parc de la Tête d’Or, et puise à nouveau son inspiration dans la nature et plus particulièrement dans ces « mauvaises herbes », lierre, liserons, pour créer des fleurs dont les lianes lumineuses s’enrouleront autour des arbres.Lumi’lierre.
Lieu : Quai de Serbie (Lyon 6ème) .Au bord du fleuve, des gemmes incandescentes, serties sur des lianes végétales, brilleront dans la pénombre. Enroulées dans les arbres, telles des glycines, ces fleurs éphémères accompagneront le visiteur dans son parcours, participant à créer une atmosphère apaisée et sereine.
ET VOUS, MES CHERS AMIS LECTEURS, VOUS PRÉFÉREZ LES FEUX D ‘ARTIFICE TRADIS A CE PARI D’UN ÉVÉNEMENTIEL TOUJOURS PLUS CRÉATIF CHAQUE ANNÉE ? C EST BIEN VOTRE DROIT ! ET SI VOUS NOUS DITES POURQUOI DANS LES COMMENTAIRES DU BLOG CE SERAIT ENCORE MIEUX DE PARTAGER VOS et NOS AVIS!
2 Commentaires
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Evelyne merci. Clair, net et instructif comme d’hab!
Et si une visite au musée était aussi un moment de dégustation et de création?
UN MUST : Découvrez le « Food Project » du MART museo di arte moderna e contemporaneadi trento e rovereto:
http://www.mart.tn.it/thefoodproject
Ce musée propose une expérience alimentaire sous toutes ses formes
– Regarder : une exposition d’œuvres et de photo, une approche du design
– Créer : des ateliers pour concevoir des bijoux ou des statues design avec des aliments
– Partager : un moment culinaire convivial avec un grand chef italien
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